Halloween LOpen House (Troisième Partie)
Je ne parvenais pas à y croire. Avant cette soirée, nous étions un couple que lon aurait pu qualifier de normal. Nous avions des fantasmes, certes, mais entre la partager avec un ou deux mecs dans les toilettes pour une fellation bien innocente et la savoir se faire prendre à la chaine par une bande de salopards, il y avait une différence. Jexpliquai la situation à Alessandro et à Marc et nous décidâmes de nous rendre au condo.
La musique sentendait depuis lascenseur. À notre arrivée, trois mecs sortaient en riant et en se tapant dans les mains alors que quatre autres pénétraient dans lappartement. La porte était tenue ouverte de façon à éviter davoir à sonner. Jétais content que ma carte de crédit ne fût pas utilisée pour cautionner la location de ce logement transformé en bordel. Bordel gratuit où une seule fille travaillait; ma copine.
Une fois entrés, nous nous dirigeâmes vers la chambre qui nous avait été réservée pour la nuit. Un fier-à-bras nous empêcha dentrer.
« Il faut faire la queue », dit-il.
« Cest ma copine que vous baisez-là, laisse-moi entrer. »
« Non, elle nous a strictement interdit de te laisser entrer. Tu dois attendre au salon quon en ait fini avec elle. Mais ça peut être long, certains sont déjà passés deux fois et dautres mecs sont en route. »
Jhallucinais. Cétait une mauvaise blague. Malgré mon désarroi, je bandais comme un cheval et, alors que je me tenais à seulement deux mètres de ma douce, je tentais de profiter de chaque seconde de proximité, dentendre sa voix et dhumer lair provenant de la chambre. Cétait une véritable et je crus un moment que jallais devenir violent. Marc posa sa main sur mon torse afin de calmer mes élans de révolte et expliqua au portier quil leur fallait avoir quitté les lieux dici une demi-heure maximum.
« Nos amis qui ont loué ce condo ne vont pas tarder à rappliquer et les connaissant, ils vont appeler la police.
« Mouais, ok », dit le gars qui nous barrait lentrée de la chambre.
« Guys ! Qui ne sest pas encore fait la chick ? »
Des voix fusèrent depuis la cuisine et le salon.
« Ok, il va bientôt falloir déguerpir. Lets go. Tous les mecs qui nont pas eu leur tour, cest maintenant. Allez-y en double et faites-vous sucer. Elle a une bouche savoureuse ! »
Jhallucinais.
« Sympa de nous prêter ta meuf », me dit le culturiste.
« De rien, voyons, cest tout naturel, répondis-je sur un ton sarcastique. Combien de mecs sont venus ici ce soir ? »
« Pas plus dune trentaine », estimait-il.
Une trentaine ? Jeus tout de suite très peur pour Marianna. Comment pouvait-elle gérer une telle affluence de mecs ?
« Et vous la baisez avec ou sans capote ? »
« Perso, jen ai mis une, mais jai vu des gars la prendre sans. Elle demande à ce quon vienne en elle. Elle narrête pas de dire quelle est safe et que cest sa première fois, alors évidemment
»
Même Alessandro et Marc, habitués aux soirées à pluralité masculine, semblaient confondus. Nous nous rendîmes au salon pour tenter de ramasser le désordre qui y régnait et passer le message que la fête était finie. Les contestations reprirent de plus belle alors que je tentai de ne pas regarder ces mecs dans les yeux. Je préférais quils restent anonymes.
« Ah non! Je venais dappeler mes collègues », lança un des types dans la cuisine. « Combien de mecs crois-tu quelle peut prendre, criais-je dans sa direction ? Ça reste un être humain ! »
« Dude, cette fille peut prendre des km de bites, crois-moi. Je nai jamais vu ça. Elle ma même laissé la prendre dans le cul sans capote. Jespère quelle ne ma rien refilé
»
Encore une fois, Marc vint à mon secours et me conseilla daller prendre de lair sur le balcon. Alessandro baissa la musique et demanda à tout le monde de ramasser leurs affaires.
Je voulais que tout ça sarrête. La retrouver et lui faire lamour.
Enfin, les trois derniers mecs, dont le portier, venaient de prendre la porte. Alessandro et Marc me laissèrent la rejoindre seule. Une odeur de sexe et de sperme emplissait lair et un silence de mort régnait dans la chambre. Dans la pénombre, Marianna me demanda si cétait moi.
« Oui, mon amour. Que tont-ils fait ? » Elle était couverte de sperme
elle en avait dans les cheveux, sur le ventre, les cuisses, le menton
Était-elle aussi remplie ?
« Cétait bon, mon amour, tinquiète. Jai toujours rêvé secrètement de me faire prendre à la chaine. Si jai réalisé ce fantasme, cest grâce à toi mon ange. Viens près de moi. »
Je pris place à ses côtés sur le lit poisseux. Je croyais discerner des dizaines de capotes jonchant le sol, le lit et les meubles.
« Tu maimes », demanda-t-elle.
« Oui. »
« Tu as encore envie de moi ? »
« Plus que jamais. »
« Alessandro et Marc sont là ? » Jacquiesçai.
« Daccord, alors voilà ce que tu vas faire mon coquin. Ramasse toutes les capotes pleines de sperme et vide-les sur ma chatte. Ensuite, tu vas nettoyer tout ça pour que je sois présentable pour nos deux derniers invités. »
« Non non non non! Je veux trop te prendre comme ça, maintenant! »
« Tes trop mignon. Daccord, après avoir vidé les capotes sur et dans mon sexe, tu pourras me pénétrer et me baiser fort, comme ils mont baisée, mais je tinterdis de jouir.
Jétais désarçonné, mais à la fois terriblement excité. Cétait comme dans un rêve, un monde onirique où lon ne peut prévoir ses propres réactions. Cétait pour moi aussi la réalisation dun fantasme; le plus glauque que javais en réserve, soit, mais tout de même. Mes doigts allèrent directement sur sa chatte. Elle était chaude, gluante et distendue. Ouverte ainsi, elle ne pouvait guère offrir de résistance. Jy insérai deux doigts pour mapercevoir que son con était bien rempli de foutre. Un épais filet de sperme accompagna mes doigts lorsque je les sortis de son fourreau à bites. Je la voulais salope, je la retrouvai pute, et encore, les putes mettent des capotes. Enfin, je crois.
Jétais tellement plongé dans cet instant de perversité que jen oubliai presque de vérifier son cul. Mes deux doigts sy faufilèrent très rapidement et ce passage, dordinaire très étroit, était encore plus ouvert que sa chatte. Comment était-ce possible ? Jajoutai deux autres doigts, puis un cinquième et enfin, josai pousser ma main entière avant quelle ne pousse un gémissement.
« Doucement, mon coquin. Ils mont défoncé les fesses. Cest un peu sensible. »
« Mais avec quoi ? », mempressais-je de demander, tout en retirant avec précaution ma main de son ampoule rectale gluante.
« Avec leurs bites, leurs mains
Ils mont pris en double dans la chatte et dans le cul. Je ne pensais pas que ça rentrerait. Jai eu mal, mais là ça va », répondit-elle lascivement.
La pénombre mempêchait de contempler ses orifices déformés. Jallumai une des lampes de chevet et le plus beau spectacle qui mait été donné dadmirer se révéla à moi. Il semblait quaucune partie de son si joli corps neut été épargnée. Dans le creux de son cou magnifiquement dessiné sétait formé un mini lac de nectar de couilles.
Je me déshabillai à la hâte et vins mallonger nu sur son corps souillé, gluant des traces de la jouissance de tous ces hommes layant honorée. Le sperme commençait à sécher par endroits, mais je me vautrais comme un assoiffé en plein désert sur cette source de luxure bestiale. Mon sexe tendu comme une corde de piano pénétra sans mal son con, ou était-ce son cul ? Je naurais su dire. Elle me repoussa alors en faisant mine de se débattre le comble, après toutes les saillies quelle avait accueillies pour me rappeler à lordre.
« Les capotes pleines », me lança-t-elle.
Je mexécutai et quittai à regret le corps visqueux de mon amoureuse. Elle se mit à frissonner et mordonna de me presser. Je déposai le fruit de ma récolte sur son ventre. Il y avait 16 capotes dans lesquelles je pus distinguer le fruit de la jouissance des mecs venus r delle. Jaurais tant aimé prendre une photo delle, défoncée, maculée de foutre, avec ces capotes usées sur le ventre. Elle mordait son petit doigt, entrouvrant sa bouche poisseuse, comme pour réprimer un sentiment de gêne. Elle affichait en cadence un regard amusé, presque empreint de fierté de sêtre comportée en telle fille des rues.
Elle releva les genoux et écarta les jambes ainsi que les lèvres de sa vulve dilatée pour que jy déverse le contenu des capotes ayant en vain rempli leur mission. Je mappliquai à faire entrer le sperme recueilli dans ces preuves dadultère du mieux que je pus. Je lui demandai décarter davantage sa chatte de catin accomplie afin que je puisse admirer son contenu. Cétait irréel. Jaurais voulu pouvoir arrêter le temps afin de profiter pleinement de chaque seconde. Le sperme saltère rapidement et la crème blanche se liquéfie, mais ce parfum de luxure et ce gout si particulier demeurent présents pour témoigner des excès pervers de ma salope. Une fois les capotes vidées dans le fond de son con, je lui rappelai notre entente. Elle en fit de même en minterdisant à nouveau de jouir.
Un bruit de trop plein résonna à mon premier coup de bite et je sentis le sperme refouler de sa chatte fécondée et marroser les couilles. Jen avais sur tout lentrejambe. Je continuai de ramoner son vagin impur et dilaté, à tel point que je ne sentais pas grand-chose hormis cette abondance de liqueur séminale. Elle minterrompit après quelques minutes à peine et me demanda daller chercher Marc et Alessandro.
Je navais pas oublié mes deux compères, seulement, je redoutais quils désirent encore prendre ma belle dans cet état. Je craignais quun tel débordement de débauche ne les ait refroidis.
« Avant, dis-moi pourquoi tu mas empêché de rentrer tout à lheure ? », menquis-je en restant planté dans sa chatte visqueuse.
« Javais un peu honte, admit-elle, et je dois tavouer que je désirais vraiment continuer. Jen aurais pris davantage. Jai adoré me faire baiser à la chaine. Malgré le fait quils aient malmené mes orifices et jétais la première à les y encourager ils se montraient doux et attentionnés. Je nai pas craint pour ma sécurité et javais peur quils changent de comportement en ta présence. Maintenant, va chercher les deux beaux mâles dans le salon et demande-leur sils me veulent souillée ou nettoyée par ta langue », finit-elle par mordonner.
Je lembrassai à pleine bouche et plongeai ma langue dans sa chatte afin de me donner une idée de ce qui mattendait. Jadorais le parfum de bites que sa bouche dégageait. Jappréhendai toutefois la réponse des deux queutards sur la touche, car je ne me voyais pas devoir lécher tout ce foutre sans men rendre malade.
Je partis donc rejoindre Marc et Alessandro complètement nu. À la lumière du salon, je réalisai que mon bas ventre était luisant, tout comme ma queue et probablement mon menton que je sentais humide et collant.
« Salut les mecs, merci dêtre restés. Marianna veut savoir si vous voulez toujours delle. Et si oui, la prendrez-vous couverte et pleine de semence ou préférez-vous que je la nettoie dabord ? »
Labsurdité de la situation me fit sourire. Javais limpression dêtre un garçon de café en train de prendre une commande.
« Je vous conseille de la prendre en double, quel que soit lorifice que vous choisirez, car ces salopards ne lont pas épargnée. »
Me voilà en train de suggérer le plat du jour.
« On peut voir dans quel état elle est », demanda Alessandro ?
« Et sache quon devra porter une capote, renchérit Marc. Nous ne pouvons prendre ce genre de risques, pas après ce soir », précisa-t-il.
Un peu déçu, je les invitai dun geste à se diriger vers la chambre. Une fois entrés, ils allumèrent toutes les lampes afin de mieux cerner le résultat de cette tournante improvisée. Marianna se fit louve devant ces deux nouveaux prétendants et commença à se caresser lentrecuisse.
« Très bien, le cocu, tu vas nous nettoyer tout ça avec ta langue », me lança Marc.
Étonné, je regardai dans sa direction en croyant quil voulait plaisanter, mais lui, mignorant froidement, se dirigea vers Marianna une cuillère à café dans la main. Il saffaira alors à recueillir du sperme sur ses seins et son ventre avant de le déposer avec précaution dans un verre à scotch.
« Je ne plaisante pas, dit-il dun ton sec. Tu veux nous voir baiser ta copine ? Alors mets-toi au boulot ! »
Incertain de la tournure que prenaient les évènements, je me dirigeai vers le vagin souillé de ma belle. Bien que la situation fût quelque peu humiliante, jen mourrais denvie et je nétais plus à ça prêt.
Je me mis à quatre pattes et plongeai la langue dans ce con fourré à la semence. Jen avais plein la gueule et je mappliquais à faire tourner timidement le foutre sur ses lèvres avec ma langue. Alessandro mindiqua quil fallait que jen avale, sinon Marianna ne serait jamais propre. Facile à dire, me dis-je. Je redoublai cependant dardeur afin de remplir à bien ma mission. Pendant ce temps, Marianna gémissait et se tortillait de plus belle, rendant la tâche difficile à Marc. Celui-ci semblait toutefois satisfait de sa récolte et passa le verre de scotch à moitié plein de sperme à Alessandro.
Alors que je poursuivais ma besogne, Marc planta sa queue nue dans la bouche de Marianna. Je pouvais enfin voir de mes yeux la femme que jaimais commettre un acte libertin réprimé par la bienséance. Elle se délecta de cette queue tendue, ma foi énorme, et semblait prendre un réel plaisir. Il empoigna alors la tête de ma douce et se mit à entreprendre des va-et-vient de plus en plus appuyés. Elle se mit à faire des bruits affreux, comme si elle régurgitait, et des larmes coulaient sur ses joues.
« Jai trouvé un trou qui na pas été défoncé », lança Marc !
« Arrête, tu lui fais mal », rétorquais-je.
Marianna sortit la bite de sa bouche, me regarda tendrement et me fit un clin dil rassurant. Elle avala à nouveau la queue de Marc et agrippa ses fesses pour laider à pousser plus loin tout en arquant la nuque pour faciliter la pénétration. Je restai comme interdit de la voir ainsi lubrique.
« Continue à polir sa chatte, le cocu, fit Marc. Alessandro va soccuper du deuxième trou à ne pas avoir été défoncé ce soir. »
Je me demandais comme un âne de quel trou il sagissait. La réponse arriva rapidement quand je sentis un liquide couler entre mes fesses exhibées. Un doigt y entra lubrifiant mon cul qui nétait absolument pas au menu.
« Ok, les gars. Je nai rien contre les homosexuels, mais je ne joue pas dans cette équipe. »
« Cest à ta blonde de voir », répondit Marc.
« Marianna, veux-tu quen encule ton cocu pendant quil te nettoie ? »
« Oh oui, dit-elle enthousiaste ! Décidément, je suis gâtée, cest un autre de mes fantasmes de voir mon mec se faire tringler, surtout pendant quil me nettoie avec sa langue. Merci Marc ! Chéri, tu veux bien être un bon cocu pour moi stp laisser ces messieurs tenfesser ? Stp ! », prononça-t-elle dun ton faussement suppliant.
Manifestement, le mot cocu était devenu à la mode
Après tout, pourquoi pas ? Marianna me prenait régulièrement avec son gode ceinture, je nétais donc pas tout à fait novice en la matière.
« Daccord, dis-je, mais je ne suce pas. »
« Comme il siéra au cocu », balança Marc, provoquant lhilarité générale.
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